Après la première semaine de formation réussie, nous enchainons avec cette deuxième semaine qui sera une semaine consacrée à la Gymnastique antibiotique.
Cette première journée de formation commence par une édifiante présentation du Dr Nathan Peiffer-Smadja sur la thématique suivante: » Raisonnement en ATB :gymnastique antibiotique sur antibiogramme : CG+ ». Grace à l’innovation technologique, Dr Nathan a pu effectuer sa présentation en ligne depuis la France à travers la plateforme Zoom, il s’est fait appuyé sur place par le Dr KABORE Mikaila.
C’est avec brio que le Dr Nathan a entrenu avec les participants une présentation englobant plusieurs familles d’antibiotiques tout en prenant le soin d’explorer les spécificités de chaque famille et les résistances rencontrées.
Cette session a suscité un grand intérêt auprès des participants et contribue ainsi à les outiller de manière efficace avec des connaissances sur l’utilisation des antibiotiques.
A la suite de la présentation du Dr Nathan, l’éminent Pr KONATE Issouf a effectué la deuxième présentation de la jounée sur la thématique: « Diagnostic et problematique de la resistance des infections sexuellement transmissibles « . Il a développé durant son intervention plusieurs notions sur la question des infections sexuellement transmissibles et des résistances qui y sont associeés.
Cette présentation vient renforcer une fois de plus les capacités des participants qui sont désormais outiller sur la question de la résistance des IST.
Nous terminons cette journée avec l’édifiante présentation du Pr Abdoul Salam Ouedraogo qui s’est entretenu avec les participants sur la thématique suivante: « Diagnostic et problematique de la résistance des infections sexuellement transmissibles : vu par le laboratoire ».
A la suite de son prédécesseur qui avait présenté le diagnostic et la problematique de la résistance des insfections sexuellement transmissibles, le Pr OUEDRAOGO vient appronfondir le sujet en abordant l’aspect vu par le laboratoire. Cela permet aux participants de cerner d’une manière plus exhaustive la question de la résistance des infections sexuellement transmissibles.